Kaliphone Sall : sans papiers, condamné, potentiellement polygame… et toujours libre de vomir sa haine en ligne

La France est-elle devenue un refuge pour les provocateurs sans foi ni loi ? L’affaire Kaliphone Sall, de son vrai nom Kalidou Babaly, en est la preuve vivante. Ce personnage, déjà condamné au Sénégal pour coups et blessures, vit actuellement en France, sans papiers. Selon sa propre sœur Rouguy Sall, il aurait déposé une demande de régularisation à la préfecture de Poissy, et devrait s’y présenter en avril pour une prise d’empreintes. Mais la situation va bien au-delà de l’irrégularité administrative. Dans une vidéo publiée pour le défendre contre une affaire de viol qui a secoué le Sénégal, Rouguy Sall déclare fièrement que Kaliphone a deux femmes : une au Sénégal, une autre en France. Comme si cela était un argument pour justifier l'injustifiable. Sauf qu’en France, cette déclaration est accablante. La loi française ne transige pas La polygamie est illégale en France. L’article 147 du Code civil est clair : "on ne peut contracter un second mariage avant la dissolution du premier". Un étranger en situation de polygamie ne peut pas être régularisé et encourt le retrait de tout titre de séjour. Pire encore, selon l’article L. 412-3 du CESEDA, le simple fait de vivre en situation de polygamie sur le territoire français suffit à justifier un refus de régularisation. Donc la question est simple : Que fait Kaliphone Sall encore sur le territoire français ? Un homme sans papiers, condamné dans son pays, potentiellement polygame, et dont l’unique activité visible consiste à insulter des honnêtes citoyens sur les réseaux sociaux, n’a rien à faire sur le sol français. Il ne contribue en rien à la société, ne travaille pas, ne respecte ni les lois françaises ni les valeurs républicaines. Un symbole du laxisme ? Pendant que des familles entières, intègres et travailleuses, se battent pour une régularisation méritée, Kaliphone Sall passe son temps en live, insultant, provoquant, menaçant. Et personne ne semble lever le petit doigt. Est-ce cela la France d’aujourd’hui ? Un pays où un individu au passé judiciaire sale, sans titre de séjour, peut se permettre d’être une voix publique toxique, tout en espérant tranquillement une régularisation en avril ? La France doit se réveiller. Et Kaliphone Sall doit répondre de ses actes, ici comme ailleurs.

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